zone apollinaire analyse vers 1 à 24
la suppression de la ponctuation, pourrait être associé à la tour Eiffel. ! Et, qui plus est, d'une rue industrielle ! - Ôte au poème une certaine logique formelle ; force le lecteur à trouver son propre rythme et donc lui donne un plus grand rôle à jouer dans la lecture du poème. Termes revivifiés par associations étonnantes : autant de paradoxes qui nous amènent à reconsidérer le réel et à sortir des clichés. Une revendication de nouveauté, une tradition lyrique, une transfiguration poétique du quotidien- "Alcools" / parcours : Modernité poétique ? Comparez Zone, v. 1 à 24, et le poème suivant, dont Apollinaire s'est inspiré. *Le poème « Zone » a été écrit en 1911. Trois couples de rimes sont en réalité des assonances : quels sont ces trois couples ? Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle - La religion seule est restée toute neuve la religion Il préfère le moderne. Intéressé par tous les mouvements artistiques d'avant-garde, il deviendra l'un des précurseurs de l'art et de la poésie modernes 3. Cette structure en miroir évoque l'idée d'un cycle ou d'une boucle; en fait, on peut le voir comme l'itinéraire du poète Guillaume Apollinaire, qui se dessine comme formant un tout cohérent et connotant le mouvement perpétuel, celui de la vie. Commentaire littéraire de Zone, Alcools, Apollinaire, vers 1 à 24… Vers 15 à 24 : « J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom, Neuve et propre du soleil elle était le clairon, Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes, Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent, Le matin par trois fois la sirène y gémit, Les inscriptions des enseignes et des murailles, Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent, J'aime la grâce de cette rue industrielle, Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes ». Ce qu'il apprécie dans la rue, c'est que celle-ci est vivante, bruyante. «Les Soupirs des vierges», poème inédit, in Fables pour le cœur offertes à Pierre Caizergues, aux Éditions Fata Morgana, 2005, p. … Il est difficile de savoir exactement à qui il s'adresse : au lecteur ou à lui-même ? - un poème qui transfigure la réalité (bilan) - un poème caractéristique de la création poétique d’Apollinaire, à mettre en relation avec l’art de son époque (cubisme) - un nouveau regard sur la ville. L’analyse doit donc se faire pas au pas au long du texte. Il faut rappeler que la tour Eiffel, bâtie en 1889, était honnie des symbolistes pour son modernisme agressif, tandis qu’Apollinaire était un chantre de la modernité et qu’elle fut le thème d'inspiration des peintres de la modernité comme Robert Delaunay. Son seul mouvement est avorté (la honte te retient /D'entrer dans une église, v. 10). • L’organisation du texte rompt avec la tradition. • le quotidien est ainsi perçu différemment et devient objet poétique • la poésie est partout, même là où on ne l’attend pas, elle dépend du regard que l’on porte sur ces Tu en as assez de vivre dans l’antiquité grecque et romaine. programme du bac de français 2021 Le poète utilise différents pronoms personnels : - « tu » pour s'adresser au lecteur, à la tour Eiffel et au christianisme : le tutoiement montre qu'il se sent proche d'eux. Montrez en quoi Apollinaire se sent proche de son lecteur. les termes accompagnant ces éléments de la modernité leur confèrent un caractère poétique : cf la personnification de la tour Eiffel, « « les prospectus les catalogues les affiches » qui « chantent tout hauté, l’évocation de la littérature : « Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux » « la religion / Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation la honte te retient / D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin » enjambements On trouve deux enjambements dans le poème. Alcools (1913) de Guillaume Apollinaire : descriptif de la séquence, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : les combats des Lumières, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : Voltaire : biographie et bibliographie ; la notion d'engagement, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : les procédés de persuasion, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture cursive de Candide (1759), Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 16 : "Prière à Dieu", Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : texte intégral, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 15 : "De la tolérance universelle", Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 14 : lettre écrite au Jésuite Le Tellier par un bénéficier, le 6 mai 1714, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 13 : le supplice de Jean Calas, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : le Frontispice de l’Encyclopédie, dessiné par Charles-Nicolas Cochin (1715-1790), Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : la construction du livre, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : L'Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : l'affaire Calas, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : comparaison du sermon du prêtre et du discours de Voltaire racontant le supplice de Calas, dans le film L'Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 4 : lettre d'une mère à ses enfants, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 3 : la scène de l'autobus, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 2 : les amants maudits, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : lecture analytique n° 1 : le notaire, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : textes de Wajdi Mouawad, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : entretien avec le metteur en scène Stanislas Nordey, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : l'intertextualité avec Shakespeare, Sophocle et Ovide, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : deux mises en scène d'Incendies, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Oncle Vania (1897) d'Anton Tchekhov, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Valse avec Bachir (2008) d'Ari Folman, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : la couverture de l'édition Babel, l'affiche du film de Denis Villeneuve, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Incendies (2010) de Denis Villeneuve, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Prix Godot des lycéens, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Wajdi Mouawad, un auteur contemporain à la croisée des cultures, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Le contexte historique (l'histoire du Liban) et les sources de la pièce (Souha Bechara), Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : les personnages, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : les mises en scène, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : Espía a una mujer que se mata de Daniel Veronese, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : une tragédie contemporaine, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : la structure de la pie?ce, Incendies (2003) de Wajdi Mouawad : étudier la construction d'un personnage, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 5 : la rencontre avec Madame de Warens, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 6 : la rencontre de Madame Arnoux, Les yeux se rencontrèrent : lecture analytique n° 7 : la demande en mariage de Georges Duroy, Les yeux se rencontrèrent : scènes de demande en mariage, Les yeux se rencontrèrent : deux mouvements littéraires : le réalisme et l'absurde, Les yeux se rencontrèrent : Rousseau, Flaubert et Camus, Les yeux se rencontrèrent : comparaison de l'extrait de La Duchesse de Langeais (1834) de Balzac et de deux adaptations télévisées et cinématogaphiques, Les yeux se rencontrèrent : Honoré de Balzac, La Duchesse de Langeais, Les yeux se rencontrèrent : sujet de dissertation, Les yeux se rencontrèrent : le topos de la rencontre amoureuse, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 11 : l'explicit, Les yeux se rencontrèrent : définitions : les focalisations dans le roman ; les paroles rapportées ; la mise en abyme, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 8 : l'incipit, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 9 : le hêtre de la scierie, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 10 : la battue au loup, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : figures maternelles, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Jean Giono et le projet des Chroniques, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : l'intertextualité, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : d'Un Roi sans divertissement à Noé, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Jean Giono, un écrivain qui dépeint la condition de l'homme dans le monde, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : la scène finale de Pierrot le fou (1965) de Jean-Luc Godard, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Albrecht Dürer, La Melencolia (1514), Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Guy de MAUPASSANT, Bel-Ami (1885), Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : les lieux, réels et imaginaires, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : la structure du roman, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : les personnages, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : le sens du roman, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : étude comparée du roman et de l'adaptation cinématographique d'Un Roi sans divertissement (1963), de François Leterrier, scénario de Jean Giono, Indignez-vous ! Chacun le sait, chacun le dit, chacun s’en afflige profondément, et nous ne sommes qu’un faible écho de l’opinion universelle et légitimement alarmée. Ces vers riment à peine : ils sont assonancés. Un troupeau bêlant ne parle guère à l'esprit et semble plutôt incongru, mais, en lui accordant plus d’attention, on s'aperçoit qu'il ne s'agit pas d'un troupeau formé par les ponts (?) Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin, Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine, Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes et des déictiques ancrent le discours ds l'immédiateté du moment de la parole (Ici, v.4; Uniquement disponible sur LaDissertation.com, Annonce Des Axes Etude du poème Zone Guillaume Apollinaire, Lecture Analytique : « Zone » extrait d’Alcools, Apollinaire, Lecture analytique Les colchiques, Apollinaire, Lecture analytique « Zone » - Alcools , Guillaume Apollinaire, Lecture analytique, Nuit Rhénane Apollinaire, Lecture Analytique Les Animaux De La Peste, Lecture Analytique Du Bellay Sonnet XVI Les Regrets. C’est en fait le derniers poèmes écrits par Apollinaire avant la publication d’Alcools en 1913 ; ce poème, d’abord intitulé « Cri », a été mis en tête du recueil pour le placer sous le signe de la modernité et d’une esthétique nouvelle. notes. Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes L’enfance (vers 25 à 70) : évocation du passé. Apollinaire passe à l’éloge d’autres signes de la modernité. Dans “La chanson du mal-aimé” également, à la strophe 18, les saules qui pleurent et les chats qui miaulent, les choses et les bêtes comprennent et partagent la douleur de l'amant ou, du moins, lui paraissent à l'unisson de son cœur. Exploitant l’effet de surprise de l’enjambement, Apollinaire, parce qu’il vit en un temps de modernisme sceptique, avoue le désir d’un retour à une naïve religiosité. : lecture analytique n° 17 : Victor Hugo, Le Dernier jour d’un condamné, Indignez-vous ! • Le présent employé très majoritairement ancre le texte dans l’actualité, la modernité Pistes métamorphose des éléments urbains en éléments animés Conclusion : Email Address. On est frappé par l'apparence du poème : certains vers sont détachés, d'autres regroupés en strophes ; il n'y a pas réellement de régularité. • métaphores et comparaisons animales (v. 2, 20, 22) ! Exploitant l’effet de surprise de l’enjambement. Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes. Les documents et les témoignages le concernant permettent de situer sa composition après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “, ”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Elle permet également, dans certains passages, des ambiguïtés : libre au lecteur d'interpréter comme il le veut ces passages. On trouve deux enjambements dans le poème. Vers 1 : « À la fin tu es las de ce monde ancien ». Paris, la ville. ? Comment la quête de spiritualité de l'homme est-elle exprimée dans ces poèmes ? dactylographes » • Ainsi que les nouveaux supports textuels : « les prospectus les catalogues les affiches », « livraisons à Objectifs de la séance : ( Structure d’ensemble du poème. Guillaume Apollinaire est issu du cosmopolitisme, son père étant italien et … • Modernité du langage : utilisation de termes prosaïques « hangars », « automobiles », etc... ! Zone est l'histoire d'une déambulation poétique d'un matin (début du poème) vers un autre matin (fin du poème), dans un Paris entrecoupé d'évocations géographiques diverses. Il évoque son enfance et son « amour » de la religion, qu’on retrouve au travers des vitraux qu’il observe. Est restée simple comme les hangars de Port-AviationSeul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme Comment accepter cette affirmation du modernisme de la religion catholique qui serait «, » (le vers 5 étant marqué par une discontinuité syntaxique créée par l’absence de ponctuation et l’enjambement avec le suivant). Utilisation classique de l’harmonie des sonorités : de façon générale, multiplication des sensations auditives. « Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi » Personnification. Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-, Toutes les rimes ne sont pas correctes : pour trois couples de rimes, Apollinaire se contente d'un son vocalique commun et ne tient pas compte de la consonne qui suit («, « À la fin tu es las de ce monde ancien Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine », « La religion seule est restée toute neuve la religion Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme », n'es pas antique ô Christianisme L'Européen le plus moderne c'est vous Pape Pie X Et, que les fenêtres observent la honte te retient /, aime la grâce de cette rue industrielle », « Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui, tout haut Neuve et propre du soleil elle était le clairon Le matin par trois fois la sirène y, Une cloche rageuse y aboie vers midi Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent », « Zone J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes J'aime, Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes + Port-Aviation », « D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y » gémit », la religion / Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation la honte te retient / D'entrer dans une église et de t'y confesser ce matin », Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin », « À la fin tu es las de ce monde ancien Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine », « La religion seule est restée toute neuve la religion J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon », « À la fin tu es las de ce monde ancien Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de PortAviation », ” fut composé dans l'été de 1912 à la suite de la rupture de Guillaume Apollinaire avec Marie Laurencin. ! III Le poète préfère une poésie moderne sans règles. Apollinaire compose Zone après avoir lu Les Pâques à New York de Blaise Cendrars. Apollinaire transfigure ces supports du langage quotidien en supports d’un nouveau langage poétique : termes qui appartiennent aux registres littéraires : chantent, poésie, prose, « aventures policières » (qui rime avec divers qui rappelle l’origine de ces aventures qui est le fait divers) (NB : rime irrégulière masc/fem), portrait ; célébration de la variété de cette littérature nouvelle par redondance « mille titres divers » « plein de » + pluriels. L'alexandrin est le vers par excellence, utilisé depuis la Renaissance en France. En effet, ce n’est pas une forme fixe et il n’y a pas de structure strophique régulière : 3 monostiches, puis un tercet, puis un huitain, puis un dizain. Apollinaire se promène dans Paris au matin. », on trouve d'autres exemples de cette poésie visuelle déjà célébrée auparavant, les perroquets étant mentionnés autant pour l’effet sonore de leurs cris que pour l’effet visuel des couleurs de leur plumage. Apollinaire, Alcools, Zone, vers 1-24 Introduction. La seconde personne « tu » est ambiguë dans certains passages : on a le sentiment que le poète s'adresse a lui-même. Sans tomber dans l’exaltation du chauvinisme, nous avons le droit de proclamer bien haut que Paris est la ville sans rivale dans le monde. : Beaumarchais et Hugo : des auteurs engagés, Indignez-vous ! More Guillaume Apollinaire > sign up for poem-a-day Receive a new poem in your inbox daily. Cette interprétation est confirmée par le vers 72 du même poème où apparaissent des «, ». Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Vers 2 : «Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin». - « vous » pour s'adresser au pape : le vouvoiement indique une marque de respect. 7. C’est en fait le derniers poèmes écrits par Apollinaire avant la publication d’Alcools en 1913. Le titre renvoie au grec zoné, qui signifie ceinture, boucle (mm idée que précédemment, donc). Je le ferai à l’issue de la séquence. Sa méditation le conduit donc à regarder dans le passé, car ce qu'il est à l'instant présent est la conséquence de son passé et le fruit de ses actes. Apollinaire décrit les aspects les plus neufs de la ville. Sont étudiés ici uniquement les 24 premiers vers du poème, du début jusqu’à « entre la rue Aumont-Thieville et l’avenue des Ternes » . d’années de création, de 1898 à 1913. Vers 11 à 14 : « Tu lis les prospectus les catalogues les affiches qui chantent tout haut, Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux, Il y a les livraisons à vingt-cinq centimes pleines d'aventures policières.
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