la fenêtre poème
Le pont Mirabeau (Guillaume APOLLINAIRE) Le laboureur et ses enfants (Jean de LA FONTAINE) Automne malade (Guillaume APOLLINAIRE) La deuxième fonction, qualifiée de libidinale, explore le topos de la femme à la fenêtre depuis ses origines courtoises jusqu’aux grands romans de la modernité. Le tamanoir (Marc ALYN) La prisonnière (Jacques CHARPENTREAU) Pour faire le portrait d'un oiseau (Jacques PRÉVERT) Le long du quai (Sully PRUDHOMME) Le jour où les oiseaux (Jacques LAFONT) Les chats (Charles BAUDELAIRE) La Cigale et la Fourmi (Jean de LA FONTAINE) (Henri MONNIER) Les derniers beaux jours (Théophile GAUTIER) Bonjour ! Fenêtres ouvertes, poème de Victor Hugo (L'art d'être grand-père) : Le matin - En dormant J'entends des voix. Vue de l’extérieur, la fenêtre délimite un fragment de réel qui s’offre à la représentation, à la manière du cadre pictural. Nuit de neige (Guy de MAUPASSANT) Lécureuil (Jean-Luc MOREAU) La grille est toute blanche (Maurice CAREME) La mer s'est retirée (Jacques CHARPENTREAU) Clotilde (Guillaume APOLLINAIRE) Reste ma soeur très patiente, A une chatte... (Charles CROS) Chanson du ramoneur (Patrice de LA TOUR DU PIN) Le pivert (Pierre MENANTEAU) Je voulais dans mon cartable (Pierre RUAUD) Et chaque poète souffle sur ce miroir : son haleine différemment l'embue. Terre-Lune (Boris VIAN) Deux petits éléphants (Maurice CAREME) Le chat (Charles BAUDELAIRE) Celle qui accroît le regard et limite chaque nuage, la gardienne du paysage où je viens me perdre le soir. La clef des champs (Claude ROY) Quand on a le temps on a la liberté. Capricorne: Envoyé le : ... La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout 00063312-1. Mon école (Pierre GAMARRA ) Le secret (René de OBALDIA) Victoire du monde (Eugène GUILLEVIC) Petite souris (Lucie DELARUE-MARDRUS) - Un moyen de corriger, de modifier notre conception habituelle du monde : fenêtre fermée mieux que fenêtre ouverte. La leçon de choses (Raymond QUENEAU) You spique Angliche ? Lieder du vent à décorner les bufs (Claude ROY) Bien placés, bien choisis (Raymond QUENEAU) La différence (Jean-Pierre SIMEON) Chanson du cavalier (Federico GARCIA LORCA) A l'école du buisson (Pierre MENANTEAU) A LA FENÊTRE. Odelette (Henri DE REGNIER) Quartier libre (Jacques PREVERT) Pour dessiner un bonhomme (Anne SYLVESTRE) En sortant de lécole (Jacques PREVERT) Le face-à-face (Lucienne DESNOUES) Jeanne au pain sec (Victor HUGO) Rencontre avec le printemps (Henriette AMMEUX-ROUBINET) Premier quartier de lune (Robert MALLET) ( c’est sans doute y mourir) Le départ (Max JACOB) Le soir indécis (Jacques CHARPENTREAU) L'automobile (Pierre GAMARRA) On les a fait Venir ! Les oiseaux migrateurs (Jacques YVART) Le père Mathieu (Jacques URBAIN) Sept couleurs magiques (Mymi DOINET) Le petit bonhomme (Tristan KLINGSOR) La forêt a peur (Venus KHOURY-GHATA) Voici les moissonneurs (Pierre MENANTEAU) Chaleur (Charles-Ferdinand RAMUZ) Le tigre (William BLAKE) Quelle plume ! Berceuse (Marie NOËL) Les erreurs (Jean TARDIEU) Octosyllabes (Pierre GAMARRA) La Marseillaise (Claude Joseph ROUGET DE LISLE) Le zèbre (Maurice CAREME) tu es simplement la fenêtre. Le liseron (Maurice ROLLINAT) La chevauchée (Jacques CHARPENTREAU) Rentrée des classes (Anne SCHWARZ-HENRICH) Les fleurs du papier de ta chambre (Jules SUPERVIELLE) Le crabe (Maurice CAREME) Beauté pâleur insondables violets. Saltimbanques (Guillaume APOLLINAIRE) Du fond de la chambre, du lit, ce n’était que pâleur qui sépare la fenêtre stellaire cédant à la fenêtre avare qui proclame le jour. Le jeu de cartes (Maurice CAREME) Le boeuf (Maurice CAREME) Mon petit chat (Maurice CAREME) Allons au verger (Rémy de GOURMONT) Ulysse (Louis GUILLAUME) Les coings (Lucienne DESNOUES) Le chantier (Jane DELIGNAC) La girafe (Robert DESNOS) Les sapins (Guillaume APOLLINAIRE) Il ne suffit pas d’ouvrir la fenêtre Pour voir les champs et la rivière. gtag('config', 'G-8WG2Z9TVX8'); Phonétique (Cliquez pour la liste complète), poème de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard, Poème de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard (n° 25), Livres de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard, Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard, Poème de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard (n° 28), poème de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard, Poème de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard (n° 461), Livres de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard, Citations de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard, poème de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles, Poème de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles (n° 61), Livres de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles, Citations de Anna de Brancovan, comtesse de Noailles. Approchez vos mains de la flamme (Claude ROY) Pour changer (Marc ALYN) Le chat (Charles BAUDELAIRE) - La poésie est un dialogue, elle tisse des liens avec le lecteur, "mon frère". L'anneau (Marcel BEALU) Pépin de pomme (Pierre GAMARRA) Chanson (Eugène GUILLEVIC) Le sentier en forêt (Henri de RÉGNIER) Des chevaux et des chiens (René-Guy CADOU) Le printemps (Charles dORLÉANS) Eau douce (Marc ALYN) Chant de l'eau (Emile VERHAEREN) Dame souris trotte (Paul VERLAINE) Printemps (Pierre MENANTEAU) Hommage à la vie (Jules SUPERVIELLE) Ce poème en prose « Les Fenêtres » présente sous une forme simple l'un des éléments essentiels de la poétique baudelairienne. Élément architectural familier aux multiples déclinaisons esthétiques ou fonctionnelles, dont les évolutions épousent les avancées techniques ou culturelles, la fenêtre joue un rôle essentiel dans la vie quotidienne, tant individuelle que sociale : elle est source de luminosité, de visibilité, de communication, en même temps que frontière entre deux espaces mitoyens souvent antithétiques. Et maintenant voilà que s’ouvre la fenêtre. L'île des rêves (Jacques CHARPENTREAU) L'hiver (Lucie DELARUE-MARDRUS) Les moineaux (André CLATIGNY) Limerick, des gens excessivement polis (Claude ROY) Amitié (Jean-Pierre VOIDIÉS) Où donc est passé le feu ? On ne sait (Maurice CARÊME) window.dataLayer = window.dataLayer || []; A lheure où la lampe luit (Victor HUGO) Planète (Jules SUPERVIELLE) (Pierre GAMARRA) Chanson pour Anne-Marie en voyage (Jean ROUSSELOT) Odile (Jean COCTEAU) La réunion de famille (Jacques CHARPENTREAU) C (Louis ARAGON) La trompe de léléphant (Alain BOSQUET) Jeux (Paul-Marie FONTAINE) Le temps des mirages (Denise JALLAIS) Promenades d'intérieurs (François COPPEE) Aimez-vous le passé (Paul-Jean TOULET) La mouche et la crème (Pierre GAMARRA) La petite ville (Anna de NOAILLES) Poème fenetre - 9 Poèmes sur fenetre 9 poèmes Page 1/1 ... Je les voyais par la fenêtre Leur chant triste entrait dans mon être Et je croyais y reconnaître Du Rainer Maria Rilke. Écolier dans la lune (Alain BOUDET) Les petits canards (Rosemonde GÉRARD) Le Loup et le Chien (Jean de LA FONTAINE) Basses-Alpes (Pierre SEGHERS) Mardi-gras (Jean-Pierre VOIDIES) Enfants de la haute ville (Jacques PREVERT) (Jacques CHARPENTREAU) Automne (Guillaume APOLLINAIRE) On avait pendu nos bas devant la cheminée, Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée. Hiver (Théophile GAUTIER) Les agents de police (Lucie DELARUE-MARDRUS) plus loin ! Plus près ! Ton poème est sublime, très pictural, abstrait, léger, diffus, comme un lavis d’encre de mots en devenir. Pour devenir une sorcière (Jacqueline MOREAU) Le petit grillon (Paul VINCENSINI) Récitations |, La Fenêtre (Anne-Marie KEGELS) Bravo à … Ce poème a été lu lors d’une cérémonie pour un temps de mémoire, dont le thème était la colombe. Les pommes de lune (Jean ROUSSELOT) Village (René VIOLAINES) Berceuse des escargots (Pierre GAMARRA) Dit des oiseaux (Jean ROUSSELOT) Les quatre éléments (Claude ROY) Chanson des escargots qui vont à l'enterrement (Jacques PREVERT) J'ai le monde sous mes paupières mon front à … Oiseaux de mer (Jean RICHEPIN) L'enfant qui battait la campagne (Claude ROY) Celle qui accroît le regard et limite chaque nuage, la gardienne du paysage où je viens me perdre le soir. Carnaval (Théophile GAUTIER) Clown (Werner RENFER) Berceuse (Maurice CARÊME) Chanson (Jean CHARLES) Anagrammes (Pierre CORAN) La biche (Maurice ROLLINAT) La lessive (Jacques CHARPENTREAU) Charles Baudelaire, « Les fenêtres », Petits Poèmes en prose,édition posthume 1869. Débit de l'eau, débit de lait (Charles TRENET) La mort des oiseaux (François COPPEE) Lourde (Jules SUPERVIELLE) Chanson des petits sans feu (Marianne Van HIRTUM) (Karine PERSILLET) Liberté (Maurice CAREME) Le vieux et son chien (Pierre MENANTEAU) La nuit (Claude ROY) ... Corriger le poème. Carnaval est arrivé ! Nous tenterons en vain de prendre du repos. Berceuse (Charles CROS) Le grillon à l'esprit brouillon (Jean ORIZET) Trois feuilles mortes (Raymond RICHARD) J'ai vu le menuisier... (Eugène GUILLEVIC) Les sept nains (Jean TARDIEU) (Pierre FERRAN) Son message humaniste orientera sa vie à jamais. De l’in… Jalousie (Paul GERALDY) hombre __ 21 juillet 2016 21 juillet 2016 _Poème_0 . La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf (Jean de LA FONTAINE) Voici venu le froid... (Anna de NOAILLES) Le buffet (Arthur RIMBAUD) Le Corbeau et le Renard (Jean de La Fontaine) J'aimerais (Boris VIAN) Lété aux champs (Victor HUGO) Est-ce faux ou est-ce vrai ? Le kangourou (Paul SAVATIER) À la fenêtre pendant la nuit. par la fenêtre des mots qui interpellent des mots à prendre soin . (René de OBALDIA). Montagne (Pierre MENANTEAU) Lécole est fermée (Georges JEAN) Chanson du chat qui dort (Tristan KLINGSOR) Si la fenêtre est inspiratrice, le génie poétique à l'imagination débordante se met au service de la recréation d'un monde. Les machines (Maurice CAREME) Le monde est neuf (Maurice CAREME) Oceano Nox (Victor HUGO) L'ordinateur et l'éléphant (Jean ROUSSELOT) Le dessin (Serge MIKHALKOV) Alors le thé a refroidi. L'homme et la mer (Charles BAUDELAIRE) Dans la chambre du grand-père (Madeleine LEY) Cavalcade (Louis GUILLAUME) Le vieux rosier (Pierre MENANTEAU) Quand la vie (Jacques PREVERT) Les douze mois (Octave AUBERT) Quant à ton texte sur la définition dupoète, il est d’une grande profondeur et épure, toujours en relation avec le graphisme, le dépouillement pour parvenir à l’essence même des choses. Cest place de la Concorde (Jacques CHARPENTREAU) Bleu et blanc (Maurice CAREME) C'est demain dimanche (Philippe SOUPAULT) L'âme est la beauté de tout un art. Dans linterminable... (Paul VERLAINE) Un vagabond (Jean RICHEPIN) Pour un art poétique (Raymond QUENEAU) New-York (Jules ROMAINS) Lueurs à travers ma paupière. La bouteille d'encre (Maurice CAREME) Loiseau du bout du monde (Jules SUPERVIELLE) La graine (Edmond VANDERCAMMEN) La mort du chien (Victor HUGO) Chez moi (René de OBALDIA) À la fenêtre, pendant la nuit Victor Hugo. Il a neigé (Maurice CAREME) Le vaisseau d'or (Emile NELLIGAN) | Accueil | non, par ici ! Pour la vaisselle (Philippe SOUPAULT) © 2008- 2020 Frédéric Jézégou - Gestion des cookies - Dico Poésie L'arbre (Jacques CHARPENTREAU) Le chat et l'oiseau (Jacques PREVERT) La télévision (Jean-Luc MOREAU) Le vent (Emile VERHAEREN) Mon cartable (Pierre GAMARRA) Nuit Rhénane (Guillaume APOLLINAIRE) Cris des baigneurs. à la fenêtre. Chaleur (Anna de NOAILLES) Les corridors où dort Anne qu'on adore (Claude ROY) J'enrage (Maurice CAREME) Chanson pour chanter à tue-tête et à cloche-pied (Jacques PREVERT) Dictionnaire de la poésie française. Le dragon doux (Raymond QUENEAU) Matin d'octobre (FRANÇOIS COPPÉE) Le parapluie (Leda MILEVA) Rires de fées (Pierre MOUSSARIE) 22/11/63 (2013) de . La clé des champs (Jacques CHARPENTREAU) Le loup moraliste (François Marie AROUET) Cheval (Lucienne DESNOUES) Le Lion et le Rat (Jean de LA FONTAINE) La tour Eiffel (Maurice CAREME) La nuit n’est jamais complète. C'est à partir d'une expérience quasi anecdotique – l'observation d'une vieille femme derrière sa fenêtre – que le poète dégage une des grandes lois de son esthétique. Mes vers fuiraient (Victor HUGO) En effet, la fenêtre représente un seuil entre l'intérieur … La coccinelle (Victor HUGO) Spleen (Charles BAUDELAIRE) La chanson de Zorro (... ANONYME) L'oiseau voyou (Claude ROY) Les jeux de la poupée (Paul ELUARD) Nuit dansante (Marc ALYN) Un cheval (Charles le QUINTREC) Tour Eiffel (Alain DEBROISE) Viendra-t-il encore aujourd’hui ? Le zèbre (Robert DESNOS) Le petit chat (Edmond ROSTAND) Tu es belle, ma mère (Maurice CAREME) La suite demande plus de temps… Vous pouvez la lire,dans son intégralité, et l’écouter sur le site consacré à la poésie de Victor Hugo, Entendre Victor Hugo: À la fenêtre pendant la nuit. Une baleine à bicyclette (Claude ROY) Je vais donc présenter ici la première partie de ce poème. Le bouleau (Maurice CAREME) Chant pour la belle saison (Robert DESNOS) Aux arbres (Victor HUGO) Lautruche (Michèle BERNARD) Petits lapons (Georges FOUREST) Loiseau bleu (Blaise CENDRARS) Premiers signes du Printemps (Théophile GAUTIER) L'avenir (Pierre GAMARRA) Non, par là ! Le petit bois (Jules SUPERVIELLE) Fantaisie (Gérard de NERVAL) L'Amour piqué par une abeille (Pierre de RONSARD) Léchangeur de la porte des Lilas (Jacques CHARPENTREAU) Le papillon (Marc ALYN) Les noisettes (Tristan KLINGSOR) I L'heure du crime (Maurice CAREME) Dans les bois (Gérard de NERVAL) Point de vue (Théophile GAUTIER) Liberté (Paul ELUARD) Il n’est pas suffisant de ne pas être aveugle II LA TENDRE AMANTE. Ma chienne (Victor HUGO) Sur la route (Charles-Ferdinand RAMUZ) Au vent des locomotives (Maurice FOMBEURE) Le p'tit poèm' stressé (Thierry COHARD) La fenêtre fermée n’est pas très sûre d’elle ni d’être ce qu’elle est ni de voir ce qui passe La fenêtre fermée tournée vers son envers donne à la nuit dedans des nouvelles du jour et parle à la chaleur du froid qu’il fait dehors La fenêtre fermée réfléchit lentement et triste traversée taciturne tapie Le chat (Charles BAUDELAIRE) Araignées quand les mains tissaient la lumière. Même village (Pierre MENANTEAU) L'oiseau du Colorado (Robert DESNOS) Le nid (Lucie DELARUE-MARDRUS) Le petit chat blanc (Claude ROY) Les deux sorcières (Corinne ALBAUT) La pomme et l'escargot (Charles VILDRAC) Bien au calme (Raymond QUENEAU) Cest le joli printemps (Maurice FOMBEURE) Décembre (François COPPEE) Références de Stephen King - Biographie de Stephen King Plus sur cette citation >> Citation de Stephen King (n° 122535) Partons (Albert GLATIGNY) Comme dans les dessins de Folon (Philippe DELERM) Prenez garde aux choses que vous dites (Victor HUGO) Les petits souliers (Maurice CAREME) La grenouille aux souliers percés (Robert DESNOS) Est-ce ainsi que les hommes vivent Et leurs baisers au loin les suivent. Hébergé par Céléonet L'albatros (Charles BAUDELAIRE) L'autruche (Michèle BERNARD) L'école des beaux arts (Jacques PREVERT) La rue c’est vidée comme les rêves de la dame La solitude est revenue seule elle aussi Un jour elle l’emportera avec elle c’est pas un drame Et même elle l’attend cette mort sa vie est déjà finie Elle en a pourtant des histoires à compter La guerre l’occupation les restrictions la libération Poisson d'avril (Jean-Louis VANHAM) Les perles de rose (Gilbert SAINT-PRE) Conseils donnés par une sorcière (Jean TARDIEU) Les yeux (Sully PRUDHOMME) Le ciel est par-dessus le toit (Paul VERLAINE) Le loup (Pierre GRIPARI) La mort du soleil (Charles Marie René LECONTE DE LISLE) Un pauvre honteux (Xavier FORNERET) (Paul GERALDY) Les enfants lisent (Victor HUGO) Chanson (Marie-Jeanne DURRY) Elle était brune elle était blanche Locataires (Jean-Luc MOREAU) Mars (Maurice CAREME ) La maison (Edmond ROSTAND) Voici que la saison (Victor HUGO) Les feux du carrefour (Denise JALLAIS) Féérie (Fernand GREGH) Poème À la fenêtre, pendant la nuit. La plainte du bois (Jean RICHEPIN) Familiale (Jacques PREVERT) Blottis bien au chaud dans leurs petits lits, Les enfants sages s’étaient déjà endormis. Le givre (Maurice CARÊME) L'écureuil et la feuille (Maurice CAREME) Midi (Sully PRUDHOMME) Mon petit lapin (Maurice CAREME) Le Chêne et le Roseau (Jean de LA FONTAINE) Les plus beaux vers et poèmes de la langue française. L'escargot matelot (Claude ROY) La plaine, les vallons plus loin... (Eugène GUILLEVIC) Diable ! Matin dété à la ferme (Marguerite-Marie PEYRAUBE) Le relais (Gérard de NERVAL) Le sac à mots (Pierre FERRAN) Le Chat qui ne ressemblait à rien (Robert DESNOS) Poucrinière la sorcière (Chantal ABRAHAM) Grand standigne (Raymond QUENEAU) Et un sourire (Paul ELUARD) function gtag(){dataLayer.push(arguments);} Viens en France, enfant lointain... (Alain BOSQUET) Bien au chaud (Ann ROCARD) Renouveau (Pierre MENANTEAU) A Cassandre (Pierre de RONSARD) Liberté ! Girafe (Marc ALYN) A la petite épicerie (Maurice CAREME) Le petit bateau (Elisabeth CHARRA) Le pays (Charles-Ferdinand RAMUZ) Larbre volant (Edmond JABES ) La cour de mon école (Jean-Luc MOREAU) Les poules (Maurice CAREME) Pour ma mère (Maurice CAREME) Le facteur rural (Paul-Marie FONTAINE) Bigorneaux Lottes multiples Soleils et l’Oursin du couchant. Une vieille paire de chaussures jaunes devant la fenêtre (Louis MERCIER) Les Conquérants (José Maria de HEREDIA) La courbe de tes yeux (Paul ELUARD) Avril (Marie NOËL) La pluie (Paul FORT) L'oiseau mécanique (Robert DESNOS) Chanson de grand-père (Victor HUGO) Le Loup et l'agneau (Jean de LA FONTAINE) Le cancre (Jacques PREVERT) Sonnet du pain (Edmond VANDERCAMMEN) J’ai le monde sous mes paupières mon front à ta vitre appuyé et tu es glissante lisière sur le bord de l’illimité. Le chat (Paul ELUARD) La chanson de la cognée (Francis VIÉLÉ-GRIFFIN) Trois escargots (Maurice CAREME) Que la terre est belle (Pierre MENANTEAU) Ver de mer (Madeleine le FLOCH) Les poètes (Léo FERRE) Si (Jean-Luc MOREAU) Poèmes délèves | Pour vivre ici (Paul ELUARD) Chanson de la Seine (Jacques PREVERT) Soir dautomne (Jean RICHEPIN) Le vagabond (Victor HUGO) Fable (Maurice CAREME) En vair et contre tous (Jacques CHARPENTREAU) I Les étoiles, points d’or, percent les branches noires ; Le flot huileux et lourd décompose ses moires Sur l’océan blêmi ; Les nuages ont l’air d’oiseaux prenant la fuite ; … Mes sabots (Pierre MENANTEAU) Le retour du roi (Maurice CAREME) Autour du pot (Michel BOUCHER) Hirondelle (Louise MICHEL) Les fées (Yves DUTEIL) Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Poème site de poésie. Devant la cheminée (Pierre MENANTEAU) Les feux (Pierre GAMARRA) Météorologie (Claude ROY) Joujoux (Edmond ROSTAND) La fourmi (Robert DESNOS) Balançoire (Jacques CHARPENTREAU) Le crapaud (Robert DESNOS) Les maisons (Charles-Ferdinand RAMUZ) Celui d'être aimé et d'aimer la vie comme une fleur,simplement. Auteurs | Un démon (Victor HUGO) PARUTION : je regarde dans la fenêtre écrire un poème, anthologie Lunatique Vitré Lunatique, le samedi 7 mars 2020 à 00:00 2020-03-07-2020-03-07 Lunatique samedi 7 mars 2020 Le Cor (Alfred de VIGNY) Impression fausse (Paul VERLAINE) (Pierre GAMARRA) La panthère noire (Charles Marie René LECONTE DE LISLE) Demain, dès l'aube... (Victor HUGO) L'avion (Lucie DELARUE-MARDRUS) L'école (Maurice CAREME) Ce matin j’ai ouvert la fenêtre de derrière Celle qui donne dans le jardin face au saule pleureur Mes yeux encore remplis de toi dans la lumière Le dormeur du val (Arthur RIMBAUD) Les portes (Danielle THIVOLET) Au marché des sorcières (Jacques CHARPENTREAU) Poème pour un enfant lointain (Alain BOSQUET) Fleurette (Pierre MENANTEAU) Passage d'un poète (Alain BOSQUET) Dessins | Ce qui est comique (Maurice CAREME) Une poule sur un mur (Maurice CAREME) L’hiver qui tarde à fuir surprend l’une des branches, La fleur béante au vent qui saura la tarir ; Elle y veut, l’encensée ! Les moustiques (Pierre CORAN) Attention travaux ! Le premier vol de l'hirondelle (Pierre MENANTEAU) Lé léopard (Robert DESNOS) Un escargot, une laitue, un jardinier... (Thierry COHARD) Mère (Maurice CAREME) Lorsque l'enfant a peur... (Alain BOSQUET) Le Lac (Alphonse de LAMARTINE) Poème à Lou (Guillaume APOLLINAIRE) Le Rat de ville et le Rat des champs (Jean de LA FONTAINE) La romance de la tarte aux pommes (Pierre GAMARRA) Mes pantoufles (Anne-Marie CHAPOUTON) L'automne (Lucie DELARUE-MARDRUS) D’origine familiale basque, Jean-Sébastien Etchegaray est né à Santiago du Chili en 1946, il émigre en Suisse, où il vivra sa vie d’adulte, enrichi par la diversité des cultures. Mon rêve familier (Paul VERLAINE) Chant pour le vent du Sud (Louisa PAULIN) La lune sur le clocher (Alfred de MUSSET) Regarde se déployer Les ailes de l’espoir Vers ce ciel azuré Défiant ce qui est noir. 2. Hirondelles (Claude ROY) Stephen King. Lorage (Jules SUPERVIELLE) Si mon stylo (Robert GELIS) Une fée (Gabriel VICAIRE) [ Louis Aragon ] Extrait de Chronique du bel canto La beauté d'une femme est éphémère met celle du coeur est infini. Le petit bonheur (Félix LECLERC) Pauvre type (Raymond QUENEAU) Trois microbes (Jean-Louis VANHAM) Contes (Marie GOUNIN) Aube dété (Cécile PERIN)
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