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Sur ce point, il est possible de consulter le chapître 5 de l’étude déjà citée, la vie sexuelle du clergé, et la bibliographie spécifique qui s’y rapporte. Mais lui, leur dit : Pas tous peuvent, avec ce que vous avez dit, seuls ceux qui ont reçu le don (ou pántes joroúsin ton lógon toúton, all’hois dédotail). Cela provoqua un état de choc qui aujourd’hui doit paraître bien ridicule au clergé catholique, dont 60% continue d’avoir des relations sexuelles malgré leur célibat officiel. Au Concile I de Létran (1123), le pape Calixito II condamna à nouveau la vie en couple des prêtres et avalisa le premier décret explicite obligeant au célibat. Cependant, l’Église Catholique, en transformant un inexistant "conseil évangélique" en loi canonique obligatoire, qui, comme nous l’avons vu dans le chapître antérieur, est sans fondement néotestamentaire, est restée à des années lumière, de ce que Paul VI résume comme "une relation personnelle plus intime et plus complète avec le ministère du Christ et de l’Église, pour le bien de toute l’humanité". Il ne me pesait pas trop ce célibat vécu et voulu, bien qu’il ne fut pas facile de le maintenir, par une décision libre et constamment renovée, mais j’ai commencé à m’interroger sur le fait qu’il soit imposé administrativement à une seule catégorie de chrétiens...parce qu’il est connu que les prêtres des rites orientaux catholiques peuvent se marier, et également les ministres des Églises issues de la Réforme protestante". Dans la Bible catholique de Nacar-Colunga, au contraire, il est dit: «Les disciples dirent: si telle est la condition de l’homme avec sa femme, autant ne pas se marier. Et, finalement, à partir du Concile du Vatican II, (documents Gaudium et Espes, et Lumen Gentium), pendant la seconde moitié du XXème siècle, la structure hiérarchique de l’Église n’a pas ses racines dans le divin, mais provient de l’antiquité (c’est une simple question de structure qui devint une habitude). Des décrets similaires furent ajoutés tout au long des siècles, sans parvenir à ce qu’une bonne partie des clercs renoncent à leur concubine, jusqu’à l’arrivée de la vague répressive des conciles de Saint Jean de Latran au XIIème siècle, destinés à structurer et fortifier définitivement le pouvoir temporel de l’Église. Si le célibat était un don ou un charisme, il serait donné au bénéfice de toute la communauté des croyants, et pas seulement pour quelques privilégiés, et nous savons que cela implique l’argument trompeur qui dit que le célibat permet une meilleure disponibilité pour aider les autres. Avec ce nouveau pas, l’Église trahissait absolument l’Évangile, et, en privilégiant les critères économiques et juridiques au détriment des théologiques, ceci devint le premier pas pour s’assurer l’exclusivité sur la nomination, la formation, et le contrôle du clerc. cf., par exemple, les très divers modèles ecclésiaux de Jérusalem, Antioche, Corinthe, Éphèse, Rome, les communautés de Saint Jean, celles des Cartes Pastorales, Théssalonique, Colosse... Durant les trois premiers siècles, elles ne sont pas reconnues comme telles. En fait, le budget accordé était plus grand pour les hôpitaux psychiatriques que pour les orphelinats, alors Duplessis a eu l’idée de diagnostiquer des enfants orphelins comme des enfants atteints de maladies mentales (qu’ils n’avaient pa… Et, il était tellement normal d’avoir des amantes que beaucoup d’évêques exigèrent la rente des putes à tous les sacerdoces de leur diocèse sans exception; quelques uns qui revendiquaient leur pureté, étaient obligés de payer aussi, car l’évêque affirmait qu’il était impossible de ne pas maintenir des relations sexuelles d’aucun genre. Et, j’ai refusé en plusieurs occasions à marier en secret et sans dispense, quelque prêtre qui désirait légaliser sa situation et laisser le ministère". En cette fin de siècle, quand tant de théologiens prestigieux ont fait entendre leur voix contre les interprétations doctrinales erronées et les attitudes qui font du tord, le pape Wojtyla les a fait taire avec la publication d’une encyclique si autoritaire, sectaire et lamentable qu’est la Veritatis Splendor. Seulement, en arrivant à ce point, qui fut pour moi la clé, des raisons pour lesquelles est exigé le célibat aux sacerdotes séculaires, l’encyclique perd pied et s’enfonce piteusement: il n’y a pas de véritables raisons sinon la «tradition séculaire de l’Église latine» c'est-à-dire, rien. Il montre bien le thème épineux des malformations psychopathologiques dont ont souffert les prêtres, à être obligés de réprimer le besoin d’une sexualité normale. Ce mouvement doctrinaire, qui prétendait lutter contre les vices du clergé de son époque, développa un type de vie clérical plutôt monacal (habitudes, heures canoniques, normes de vie strictes, tonsure, ségrégation, etc...) et a fait que le célibat fut considéré de droit divin, et, de fait, obligatoire, donnant un définitif tour de manivelle à l’édit du Concile III de Létran, qui l’avait considéré comme une simple mesure disciplinaire. Les fidèles catholiques ont souffert des siècles, en croyant, pieds et poings liés, à la doctrine officielle de l’Église qui présentait le sacerdote comme un homme différent des autres, meilleur que les laïcs, "spécialement élu par Dieu", à travers sa vocation, son investiture personnelle et permanente du sacré, par le pouvoir exclusif pour officier dans les rites et les sacrements et appelé à être l’unique médiateur possible entre l’être humain et le Christ. Si le célibat est un état comme s’est affirmé, c'est-à-dire une situation, une condition légale dans laquelle se trouve un sujet, il en sera de même du mariage, et les deux, en tant qu’états peuvent et doivent être choisis librement par chaque individu, sans que ce soit imposé par des ingérences extérieures. Elles sont nombreuses, les interprétations erronées des Évangiles, que l’Église Catholique a réalisées et soutenues avec véhémence, tout au long de l’histoire. Cependant, à la lumière de l’exposé de Pepe Rodríguez, l’idée du célibat n’est ni appuyée par les Évangiles, ni par Jésus lui-même. Dans les années 1930, la province du Québec a connu la période de la Grande Noirceur, où Maurice Duplessis a reçu le support de l’Église Catholique pour se sortir de cette période un peu plus grise. Les mots ton logon touton se réfèrent en grec, à ce qui précède (la dureté du mariage indissoluble, qui fait s’exprimer les disciples qui ne veulent pas se marier), et non pas à ce qui vient ensuite. Nous remercions ta collaboration. 29), “Il donne de la plénitude à la vie" (núm. Selon Mth 19,10 Jésus répondant à quelques pharisiens qui l'avaient interrogé à propos du divorce, affirma l’indisolubilité du mariage, (comme objectif à atteindre, comme perfection vers laquelle nous devons tendre, et non pas comme une simple loi à imposer), à ces pharisiens, qui lui opposaient la Loi de Moïse qui permet le divorce, il leur répondit8: "Incorrigibles que vous êtes ! Selon les dernièrs documents officiels de l’Église disponibles en 1990 il y avait seulement trente sacerdotes diocésains inscrits en facultés, pour des études civiles, ce qui représente 0,14% du total des prêtres. Il prépare l’homme pour célébrer le mystère de l’eucharistie ” (núm. Jusqu’au Concile de Nicée (325) aucun décret légal ne fut fait en matière de célibat. (1994). La prétendue exaltation du célibataire pour le Seigneur, citée dans les versets 19, 10 de l’Évangile selon Saint Mathieu, se doit, probablement, à une exégèse erronée des dits-versets originaires d’une traduction incorrecte d’un texte grec (première version depuis l’original en hébreu) commise quand on a fait la version latine la Vulgate. Ce n’est pas un secret que le pape porte le titre de "Représentant du Fils de Dieu", traduit "VICARIUS FILII DEI" en latin, qui est la langue officielle de l’église catholique romaine. De quelle vérité ? La conception que l’Église Primitive Chrétienne avait d’elle-même, être "une communauté de Jésus", fut largement ratifiée durant les siècles suivants. Le résultat visible, de fait, est qu’il n’existe pas la moindre base évangélique pour imposer le célibat au clergé. 31-32). Plus les siècles passaient, et plus étaient manipulés les Évangiles d’origine, et plus la question du célibat obligatoire reprenait de la force, une question clé, comme nous le verrons, pour dominer facilement la masse cléricale. Mais, comme c’est évident, le pontificat de Wojtyla et ses sbires, a lutté à mort pour occulter à nouveau cette mise en œuvre, et a restauré les fallacieuses idées du Concile de Trente qui maintiennent tout le pouvoir sur les soutanes. La loi du célibat obligatoire est une des plus remarquable entorse aux droits de l’homme que l’Eglise Catholique commet depuis des siècles, et pour cela, avant de commencer à traiter les prémices de ce chapitre, il sera opportun d’introduire avec l’opinion de Diamantino Garcia, président de l’Association pour les Droits de l’Homme d’Andalousie, membre renommé du Syndicat des Ouvriers des Champs, prêtre depuis vingt-six ans, et curé de la paroisse des villages sévillans de Los Corrales et Martin de la Jara. Et dans des textes comme l’Apocalypse (Ap 1,6 ; 5,10 ; 20,6) ou dans la Première Épître de Saint Paul (Ép 2,5) le concept de hiereus/sacerdote s’applique déjà à tous les baptisés, à chacun des membres de la communauté des croyants du Christ, et non pas aux ministres sacrés du culte. Au vu de ce manque de légitimité que peut avoir le concept et les fonctions (exclusives) du sacerdoce dominant jusqu’à aujourd’hui, au sein de l’Église Catholique, nous examinerons aussi brièvement le manque absolu de justification évangélique que présente la loi canonique du célibat obligatoire. L’auteur nous démontre après une exhaustive investigation, que ces supposés gardiens de la parole de Jésus, l’ont transformée de manière si subtilement trompeuse, que de nombreux fidèles laïques ou cléricaux ont été obligés de croire à l’état de « célibat » comme statut idéal pour la conception du divin dans l’être humain. Avant, au contraire, les textes du Nouveau Testament offraient diverses possibilités, au moment de structurer une communauté ecclésiastique et ses ministères sacramentels1. Le Pape Paul VI, dans son encyclique "Sacerdotalis Coelibatus" (1967), ne laissa pas de doutes quant au sens de cette doctrine: Comme je l’ai exposé jusqu’à maintenant, et avec ce que nous verrons dans la suite du livre, nous démontrerons sans laisser de doutes que toutes les manifestations de Paul VI, dans sa fameuse encyclique, contredisent, dans l’absolu, la réalité que vit la majorité du clergé catholique. ), Le Pape Paul VI, au Concile du Vatican II, voulut remédier à cet abus historique, cette appropriation injuste et exclusive du sacerdoce par une partie du clergé, quand dans l’encyclique Lumen Gentium, il établit que "tous les baptisés, pour la régénération et l’onction de l’Esprit Saint, sont consacrés comme maison spirituelle et sacerdoce saint. Maintenant, je vous dis, que si l’un de vous répudie sa femme, (je ne parle pas d’une union illégale) et se marie avec une autre, il commet l’adultère. Actuellement, étant donnée la rareté des vocations, de nombreux prélats, spécialement ceux du Tiers Monde, défendent à nouveau cette possiblité et ont solicité à plusieurs reprises le pape Wojtyla pour qu’il facilite l’institution du viriprobati (l’homme marié qui vit avec son épouse comme frère et sœur) et leur accès à l’ordination. Dans les premiers siècles du christianisme, l’eucharistie, l’axe central de cette foi, pouvait être dirigée par n’importe quel homme, et aussi par des femmes, mais progressivement, à partir du Vème siècle, la coutume fut de céder la présidence de la messe à un ministre professionnel, de sorte que le ministère sacerdotal commença à prendre de l’ampleur dans la structure socio-administrative, qui se disait elle-même, être la succession des apôtres, mais elle ne se basait pas sur la tradition apostolique évangélique et encore moins sur ce que propose le texte de Jean, au lieu de le faire à partir de l’eucharistie (sacrement religieux). Et de ces poussières vient la boue actuelle. Écrit par Pepe Rodríguez PROLOGUE Pepe Rodríguez, nous révèle dans cette œuvre magnifique «les dessous de l’Église Catholique», comment avec le temps, les écritures saintes ont été mal interprétées, et ce, au bénéfice et au profit d’une institution, qui, loin de divulguer fidèlement les enseignements de Jésus, les a pervertis pour remplir ses coffres. Il était tellement habituel que les clercs aient des concubines que les évêques finirent par instaurer la fameuse rente des putes, qui était une somme d’argent que les prêtres devaient payer à leur évêque chaque fois qu’ils transgressaient la loi du célibat. Op.cit.p.72. (Les données sont confidentielles. Ce rapport illustre le respect donné au Code du Droit Canonique qui a été en vigueur entre 1917 et 1983, à ce canon 129 qui ordonnait : « Les clercs, une fois ordonnés sacerdotes ne doivent pas abandonner les études, et principalement, les études sacrées ; et dans ces disciplines sacrées ils suivront la doctrine solide, reçue de leurs prédecésseurs, et communément acceptée par l’Église, en évitant les nouveautés profanes et faussement appelées science. À première vue, dans la propre rédaction de ce texte réside sa réfutation. Au Concile III de Létran (1179), qui fut aussi le ferment de l’Inquisition, le pape Alexandre III obligea à une interprétation restreinte du décret de Calcédonie et changea l’original titulus ecclesiae, personne ne pouvait recevoir l’ordination si ce n’est pour une église concrète demandée à l’avance, pour le beneficium, personne ne peut recevoir l’ordination sans un bénéfice (salaire de l’Église elle-même) qui garantit son soutien. Pepe Rodríguez, nous révèle dans cette œuvre magnifique «les dessous de l’Église Catholique», comment avec le temps, les écritures saintes ont été mal interprétées, et ce, au bénéfice et au profit d’une institution, qui, loin de divulguer fidèlement les enseignements de Jésus, les a pervertis pour remplir ses coffres. C’est pour cela que Moïse consentit à répudier vos femmes, mais au commencement, ce n’était pas ainsi. Il y a des eunnuques qui sortirent ainsi du ventre de leur mère, d’autres furent faits hommes, et il y a ceux qui se font eunnuques pour le royaume de Dieu. Le pape "et le chiffre de son nom" = 666. L’encyclique a tué en moi l’idée du célibat, merci Paul VI ! D’autre part, jusqu’au siècle dernier, la cour papale était un lieu privilégié pour les fameux castrats, chanteurs, selectionnés parmi les chœurs des églises, qui s’étaient faits castrés dans l’enfance pour conserver une voix aux tonalités et aux nuances impossibles pour un homme adulte quelconque ; s’ils n’étaient pas d’authentiques eunnuques pour le royaume des cieux ! Au contraire, ce à quoi est parvenue l’Église avec le fait d’imposer la loi du célibat obligatoire c’est de créer un instrument de contrôle qui lui permet d’exercer un pouvoir abusif et dictatorial sur ses travailleurs, et une stratégie de base économiste, pour baisser les coûts de maintenance de ses travailleurs sacrés et, aussi, pour augmenter son patrimoine institutionnel ; c’est pour cela que, évidemment, l’unique humanité qui gagne avec cet état de chose c’est l’Église Catholique elle-même. Avec la célébration du Concile de Trente (1545-1563), le pape Paul III, protagoniste d’une vie dissolue, favorisant le despotisme dans son propre pontificat, et père de plusieurs enfants naturels, imposa définitivement les édits disciplinaires de Létran et de plus, interdit explicitement que l’Église puisse donner l’ordination à des hommes mariés.10. Selon les Évangiles, Jésus cita seulement le mot "église" en deux occasions et les deux fois, il se référait à la communauté de croyants, jamais à une institution actuelle ou future. Splendeur de la Vérité ? En théorie, bien sûr, il n’y avait rien de préssé, pas d’urgences spéciales, et il n’était arrivé aucune personne avec laquelle établir une relation profonde et sérieuse.”. “Le célibat des pasteurs doit être optionnel, affirme le prêtre marié Julio Pérez Pinillos, déjà que le célibat imposé, en plus d’appauvrir le carcatère du «signe de croix», est l’un des piliers qui soutient l’organisation pyramidale de l’Église, appareil et puissance sur le binôme clercs-laïcs, qui appauvrit les premiers et humilie les seconds”.12. Au Concile du Vatican II, Paul VI, qui n’osa pas poser à nouveau la question du célibat comme l’avaient sollicité de nombreux membres du Concile, assuma la doctrine traditionnelle de l’Église au mépris du sens, dans -PO16- "il exhorte aussi à ce Concile sacré, tous les présbytériens qui, confiés à la grâce de Dieu, acceptèrent le célibat sacré, par leur libre volonté à l’exemple du Christ7, et qui l’embrassèrent magnanimement et de tout cœur, et persévérant fidèlement dans cet état, qu’ils reconnaissent ce don précieux, qui leur a été fait par le Père, qui est une exaltation envers le Seigneur, et qu’ils aient aussi devant les yeux les grands mystères, qui par lui, se manifestent et s’accomplissent.". Ainsi, au Concile de Calcédonie (451), son canon 6 était taxatif et stipulait que "personne ne peut recevoir l’ordination de manière absolue (apolelymenos) ni sacerdote, ni diacre, s’il n’a pas été assigné clairement par une communauté locale". Les disciples lui répliquèrent : si telle est la situation de l’homme avec la femme, ça ne vaut pas la peine de se marier. Madrid : Bibliothèque des Auteurs Chrétiens, PP. Ceci signifie que chaque communauté chrétienne élisait un de ses membres pour exercer comme pasteur, et seulement alors, il pouvait être ratifié officiellement, au moyen de l’ordination et de l’imposition des mains ; au contraire, qu’un prêtre soit imposé par le pouvoir institutionnel comme médiateur sacré, est absolument hérétique6 (le sceau qui, au sens strict, doit être appliqué aujourd’hui aux fabriques de prêtres que sont les séminaires). Mais dans ce chapitre nous allons nous occuper seulement de deux mystifications de base : celle qui touche le concept de la figure du sacerdote, et celle qui transforma le célibat en une loi obligatoire pour le clergé. qu’elle contient les enseignements actuels de l’église catholique romaine. Enfin, à part des anecdotes en marge, depuis l’époque des conciles de Létran jusqu’à nos jours, rien de substanciel n’a changé à propos d’une loi si injuste et manquant de fondement évangélique, c’est pouquoi elle peut être qualifiée d’hérétique, comme celle qui décrète le célibat obligatoire pour le clergé. Les problèmes notables d’ordre psycho-social dont souffre une bonne partie du clergé catholique, et en particulier diocésain, non seulement dérivent de carences affectives et sexuelles, il va sans dire que cette sphère est une partie fondamentale pour le développement, la maturation et l’équilibre de la personnalité humaine ; la propre structure formative du clerc et certaines dynamiques vitales forcées, contribuent à générer des problèmes psychologiques qui ont été évités en grande partie, parmi le clergé des autres confessions catholiques ou chrétiennes en général. 26), “Il développe la capacité d’écouter la parole de Dieu, et dispose à la prière. Code du Droit Canonique. Barcelone : Editions Angélus, chapitre VII. Lui, leur répondit: Vous ne comprenez pas tous ceci, sinon ceux à qui cela a été donné. Carmona Brea, J.A. Hiereus est le terme qui est employé dans l’Ancien Testament pour nommer les prêtres de la tradition et ceux des cultures NON juives ; son concept est inséparable des notions de pouvoir et de séparation entre le sacré et le profane (cela vaut comme exemple, pour celui qui ne connaît pas l’histoire antique, le modèle des sacerdotes égyptiens ou des différents peuples de Mésopotamie). «Que celui qui le peut, le fasse». Et l’article 599 du Code de Droit Canonique, avec son langage sibyllin, impose que "le conseil évangélique de chasteté, assumé pour le Royaume des Cieux, en tant que signe du monde futur et source d’une fécondité plus abondante dans un cœur non divisé, porte en soi, l’obligation d’une parfaite continence dans le célibat.". L’herméneutique biblique actuelle garantit absolument la thèse selon laquelle Jésus n’institua pratiquement rien, et encore moins un modèle déterminé d’Église. Ceci, en toute logique et indubitablement, doit être ainsi, puisque du point de vue socio-culturel, étant donné que Jésus était un juif fidèle à la loi, comme nous l’avons déjà mentionné jamais ne pouvait préférer le célibat au mariage. cf Santa Sede (194). «Parce que l’homme est un temple vivant, (il n’y a pas d’espace sacré), pour offrir le sacrifice de sa vie (toute personne est sacrée), en offrande constante au Père (il n’y a pas de temps sacrés)» argumente le théologien José Antonio Carmona. cf. (Ce qui se passa là est très important, car c’était rompre avec la tradition dominante de l’Église du premier millénaire, qui considérait le célibat comme une option strictement personnelle. Le mariage, en échange, il est sûrment donné pour contribuer au bénéfice mutuel de la communauté. Au cours de ces trois dernières années, j’ai célébré les noces de sept prêtres amis, jusqu’à ce que je me sente le marieur officiel de prêtres.
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