colossiens commentaire biblique
1 Paul, apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu, et le frère Timothée, (v. 18-21) — Après ces principes généraux et d’une immense importance pour la vie chrétienne pratique, l’apôtre en vient aux devoirs des fidèles dans les diverses relations où ils se trouvent. I. C’est tout ce qui se rapporte aux pensées, aux désirs, aux mobiles, aux affections du vieil homme. Ces choses qui sont en haut sont tous les biens et les privilèges célestes qui actuellement et en espérance sont à nous en Christ et par lui, ces biens, ces trésors spirituels de grâce et d’amour dont il est la source et le centre. Mais sa place est celle de soumission, et tout ce qui tendrait à l’y soustraire, à lui donner, comme cela arrive toujours plus de nos jours, une position d’égalité avec l’homme, dans ce qui est du domaine de celui-ci, va à l’encontre des pensées de Dieu. Les historiens rapportent que la population phrygienne avait un caractère « en rapport avec la nature volcanique du sol16 ». Quel mobile élevé et puissant pour régler la vie! Commentaires bibliques. (v. 1 et 2) — L’épître commence à peu près comme celle auxÉphésiens. La parole du Christ est essentiellement ce qui nous le révèle, et en lui les pensées, les desseins et les voies de Dieu. Combien il est alors besoin de la vraie sagesse. 11:29; 12:19). 6, c’est-à-dire la vérité que le chrétien est mort avec Christ. Qu’elle est heureuse la famille chrétienne qui se meut dans cette atmosphère d’amour, de paix, de tendresse; où le Seigneur domine dans sa grâce, où vraiment il demeure. 1 à 5 Révélation du mystère divin de l'Assemblée. Ces entretiens sont basés assez librement sur le commentaire préparé par Mr Guy Appéré de Genève, publié sous le titre « Le Mystère de Christ » (Ed. Par exemple, le chrétien, le nouvel homme, possède l’intelligence qui lui fait trouver Christ partout dans l’Ancien Testament, en type ou prophétiquement, tandis que les justes de ce temps-là n’y voyaient que l’histoire de certains personnages, ou des ordonnances et des rites religieux. Ces membres sont, comme nous le voyons, les diverses convoitises et leurs fruits extérieurs. De plus, le Seigneur mis ainsi en évidence comme motif de soumission et d’obéissance, fera que rien dans la personne ou les manières de faire de ceux à qui la soumission et l’obéissance sont dues, ne sera un obstacle à être soumis et obéissants. Il n’y a pas de milieu, c’est ou Christ ou la chair. Les Colossiens, comme gentils, avaient autrefois marché dans cette corruption morale qui est un des traits saillants du paganisme, et que l’on retrouve, hélas! «Les choses qui sont sur la terre» ont un domaine plus étendu. Là tous sont égaux; là Christ est tout dans tous les croyants. quelle sauvegarde, si cela est réalisé, pour ne tomber dans aucun excès, pour que tout soit à sa gloire! 3:2). Être pauvre, dénué, esclave même, n’excuse pas l’injustice. (v. 16) — L’activité de la vie de Dieu dans le chrétien comporte deux choses: la jouissance de Dieu lui-même, et l’exercice de cette activité envers les autres selon la nature de la vie divine, c’est-à-dire l’amour. Etude Biblique - Colossiens - P01/11 Decker Maurice - 1996Conférence Dans le cadre d'une semaine d'enseignements, Maurice Decker propose ici une série d'études sur le livre des Colossiens. 1:29-31 avec 2 Tim. 7 à 18 Salutations et recommandations. Quel motif puissant pour agir selon ces préceptes: «le Seigneur», Celui qui nous a acquis pour que nous soyons à lui! Mais il ne faut pas voir dans «les choses qui sont sur la terre» uniquement les ordonnances et pratiques religieuses auxquelles les faux docteurs voulaient assujettir les Colossiens, les détournant ainsi de Christ. 19:3; Deut. Sondez les Écritures. Le v. 1 du chap. C’est la parole cachée dans le cœur (Ps. Le support se rapporte aux infirmités qui résultent de notre condition actuelle, l’ignorance, l’erreur, par exemple; aux difficultés de caractère, aux divergences de vue, à certaines différences d’habitude, etc. 8 Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie, s'appuyant sur la tradition des hommes, sur les rudiments du monde, et non sur Christ. On voit, en 1 Cor. Mais tout découle de l’état du cœur. Qu’elles soient les premières à montrer leur respect pour l’autorité que Dieu a établie dans la famille. Remarquons, en passant, que, dans l’épître aux Colossiens, le chrétien, bien que ressuscité avec Christ, est considéré comme étant encore sur la terre, tandis que dans l’épître aux Éphésiens, il est vu comme assis en Christ dans les lieux célestes. Nous avons eu besoin de la miséricorde divine envers nous, et nous en avons constamment besoin; cette miséricorde, provenant des profondes affections de son cœur, a caractérisé notre adorable Sauveur, dans son passage sur la terre, alors qu’il s’inclinait avec amour vers tous ceux qui souffraient, soit dans leur corps, soit dans leur âme à cause du péché; combien de fois nous le voyons «ému de compassion»! La puissance de résurrection et de vie qui a relevé Christ d’entre les morts, passe de lui dans ses membres (comp. Régnant dans nos cœurs, elle présidera aussi à nos relations mutuelles et écartera toute aigreur, toute animosité. 13). Maintenant viennent les conséquences pratiques. La paix du Christ! Celui qu’ils servaient, en obéissant à leurs maîtres selon la chair, était Christ. Ce sont les traits d’une vraie obéissance. Certains enfants redoutent l’autorité paternelle, mais n’auront pas, à l’égard de leur mère, la même obéissance. Mais bien qu’étant encore sur la terre, sa vie n’y appartient pas, et l’apôtre l’exhorte à agir comme entré dans une nouvelle vie, et à chercher les objets qui répondent à cette nouvelle vie et conviennent à un ressuscité: «Cherchez les choses qui sont en haut», qu’elles soient les objets de vos désirs. C’est ici le motif qui doit encourager les enfants à être obéissants. Ce v. 15 se termine par trois mots d’une grande signification et d’une haute importance: «Et soyez reconnaissants». C’est dans le cercle de la famille chrétienne que nous nous trouvons ici. 4:5-7), qu’au désir de posséder de l’argent, à l’avarice. 6:4; Gen. 18:19; 1 Sam. 1-8 Les Colossiens … La ville de Colosses a été détruite par un tremblement de terre au début de l'an 60. «Pères, n’irritez pas vos enfants, afin qu’ils ne soient pas découragés». Grâce et Vérité, Mulhouse.) Mais c’est à cela que Dieu — le Dieu de paix — nous a appelés. Le but de cette épître est donc de placer devant les yeux des Colossiens, ou plutôt de rappeler à leur mémoire, le Seigneur Jésus Christ et sa gloire immense — surtout en tant que Tête du Corps. Sa gloire nous est montrée: il est assis à la droite de Dieu. Si nous éprouvons une certaine difficulté à comprendre cela, la cause n’en serait-elle pas en ce que la présence de Christ en nous est faiblement réalisée, et qu’ainsi il y a dans nos cœurs peu de joie et peu de louanges? Si nous ne faisons pas ainsi, s’il n’est pas le but et le mobile de notre vie, comment et par quel motif agissons-nous? Elle est nôtre — Christ qui est votre vie — et nous l’avons sur cette terre, mais par elle, nous sommes rattachés au ciel, à Dieu lui-même. N’est-ce pas selon la chair et pour la chair? tions littéraires). Gardez-vous de tout ce qui pourrait le froisser ou le blesser. Dieu l’appelle à une obéissance implicite. Soyez épanouis (commentaire biblique sur Colossiens) Colossiens Wiersbe Warren. Christ, ayant accompli son œuvre, a disparu du monde: «Le monde ne me verra plus», dit-il (Jean 14:19). C’est sa place, sans que cependant cela implique rien de servile. Là où, dans la famille, la vie chrétienne est en activité, où l’on prie, où la Parole est lue, où la marche, en séparation d’avec le monde, est vraiment selon Christ, là, l’enfant apprend que l’obéissance envers ses parents lui est imposée par le Seigneur. N’est-ce pas ainsi que Dieu agit, lui dont en tout nous avons à être les imitateurs? Rom. 3:1-5); c’était la manifestation de la vie de la chair dont ils vivaient alors, et ces choses étaient, pour ainsi dire, la sphère de cette vie. C’est donc dans l’amour et selon sa sagesse, pour notre vrai bien. «Tous les trésors de la sagesse et de la connaissance» étaient là. Mais elle est dans sa nature faible, «un vase plus faible», plus délicat, non seulement quant au corps, mais quant aux sentiments, qui aisément sont douloureusement froissés. Commentaire biblique de Colossiens 4.2 Plan. Sans rechercher ici ce que nous devons entendre par ces diverses sortes de chants, nous voyons que les sentiments du cœur produits par la connaissance et la jouissance de l’amour de Christ et de la communion avec Dieu, s’exprimaient par ces chants, qui devenaient ainsi un moyen d’enseignement et d’exhortation. Qu’ils sont rares les chrétiens heureux, dans lesquels il y a constamment comme un cantique de joie! Comment être heureux en dehors du Seigneur, privé de son approbation, loin de sa bénédiction? Il ne nous connaît pas, comme il n’a pas connu Christ (1 Jean 3:1). Au contraire, dans la vie divine se trouve l’énergie d’amour qui provient de la communion avec Dieu et qui maintient les caractères de Dieu. Où avons-nous jamais vu une seule de ces choses dans la vie de notre adorable Sauveur, lui la douceur et la patience constantes mêmes? 1:29-31 avec 2 Tim. Il faut donc faire un effortpour comprendre ou appréhender le sens (ou l’objectif) du livre biblique entier (dans son ensemble), avant d’en interpréter 24 à 29 ; 2. Mais, alors que dans l'épître aux Éphésiens l'assemblée en tant que corps de Christ occupe le premier plan, nous découvrons avec l'épître aux Colossiens, Christ comme Tête de ce corps (Col. 1:18; 2:19). Chaque jour les Écritures. 1:19, 20; 2:6). «Je vous donne ma paix», nous a dit Jésus (Jean 14:27). Les doctrines que l’on apportait aux Colossiens maintenaient des distinctions entre les hommes; le vieil homme y avait sa place. L'épître aux Colossiens le montre comme venant de traverser le Jourdain. S’il nous châtie, c’est pour notre profit, afin que nous participions à sa sainteté. Le monde même le reconnaît. Il a été glorifié en Dieu; il est entré dans cette gloire divine comme l’Homme qui a accompli les desseins de Dieu, et il y reste caché aux yeux du monde jusqu’au jour de sa manifestation glorieuse. Il est touchant de voir comment l’apôtre, par l’Esprit Saint, encourage les saints qui se trouvaient dans cette triste et malheureuse condition. L’amour qui est la nature même de Dieu, et qui imprime un cachet divin à toutes les qualités énumérées, les réunissant et les tenant réunies comme en un faisceau, les animant de sa vie et de sa chaleur. Ce sont ces dernières qui seules doivent occuper le cœur du chrétien. 13 Supportez-vous les uns les autres, et, si l'un a sujet de se plaindre de l'autre, pardonnez-vous réciproquement. On doit les renier en pratique; nous n’avons rien à faire avec eux. Épitre aux Colossiens Page 4/143 Son salut est complet Et la manière de vivre dont les principes seront détaillés dès Col 3 sont suffisants. 12 à 23 Christ, Premier-né de la création et d'entre les morts. Commentaire sur Colossiens (Édition 1.0 20201203-20201203) L'Épître aux Colossiens a été gravement incomprise et utilisée par les Antinomiens pour attaquer la Loi de Dieu et affirmer par ignorance que la Loi est en quelque sorte "clouée au poteau". De cette manière, le nouvel homme n’est pas un état pratique de notre marche ici-bas. Combien plus la femme chrétienne ne doit-elle pas être heureuse de garder la sienne? mais: Puis-je y associer le nom du Seigneur Jésus, c’est-à-dire Christ lui-même? C’est la nourriture aussi bien que la joie de l’âme; c’est ce qui nous fait croître et nous fortifie pour l’action selon la vie de Dieu. Le nouvel homme est créé; c’est une œuvre de Dieu dans l’âme. Que dans vos relations comme chrétiens, cette parole occupe pleinement la place qui lui est due. Le monde même juge quand une femme prend, en dehors de la soumission, la place qui ne lui appartient pas. Eh bien, nous avons comme caractère de la vie que nous tenons de lui, à avoir, comme lui, des entrailles de miséricorde. la réponse est: C’est lorsque Christ a été ressuscité; tout comme c’est à la croix, quand il y a été cloué et qu’il y est mort, que notre vieil homme y a été crucifié et que nous y sommes morts avec lui (Rom. Elle est simple. Colosses était une ville de la Phrygie, dans l'Asie Mineure, située sur le Lycus, affluent du Méandre, non loin de Laodicée et de Hiérapolis, où l'Evangile avait aussi pénétré. C’est une préparation salutaire pour le reste de leur vie. La vraie vie chrétienne. En cherchant les choses qui sont en haut, on apprend à les connaître, à les apprécier, à les goûter. Non pour se glorifier, sans doute, mais pour glorifier Christ, en manifestant dans notre conduite ce qu’il est, lui, notre vie: «Revêtez-vous donc», que chaque chrétien fasse attention à cette exhortation qui commence le résumé le plus complet et le plus beau de la vie chrétienne pratique. C’est cet amour, cette tendresse de cœur, cette amabilité, ce support, ces égards (1 Pierre 3:7) qui découlent de l’amour, qui rendront facile la soumission. 1 Jean 2 Jean 3 Jean Jude Apocalypse. Lorsque cela est réalisé, que la parole du Christ habite effectivement en nous, nous sommes rendus capables de nous enseigner et de nous exhorter l’un l’autre en toute sagesse. Tout est rapporté à Christ dans cette épître: le pardon de Christ, la paix du Christ et, plus loin, la parole du Christ (v. 16). Garder sa parole attire l’approbation du Seigneur, comme il l’exprime à l’égard de Philadelphie: «Tu as gardé ma parole». 5 Colossiens 2 v. 20 à 23 ; 3 v. 1 à 7. Mais remarquons que, comme le fait d’avoir dépouillé le vieil homme est le point de départ pour mortifier les membres qui sont sur la terre et qui appartiennent à la vie du vieil homme, renonçant à la convoitise, à la méchanceté et au mensonge, de même le fait d’avoir revêtu le nouvel homme est un point de départ pour en manifester pratiquement le caractère, qui est celui de Christ. Cela évidemment décide de tout ce que l’on peut faire ou ne pas faire. Mais «nos membres qui sont sur la terre», en Colossiens, c’est le péché positif dans la chair et ses manifestations. Il voit, chez ses parents, l’amour pour Christ et la soumission à sa parole, et il comprend et respecte l’autorité divine qui lui dit: «Enfants, obéissez en toutes choses». Remarquons que l’on revêt ces qualités dans la conscience que l’on a de la place bénie devant Dieu qu’expriment ces paroles: «Élus de Dieu, saints et bien-aimés». Ainsi, en Éphésiens, il est dit: «Soyez imitateurs de Dieu comme de bien-aimés enfants». L’enseignement ne tombe pas nécessairement du haut d’une chaire, ni de la bouche d’un docteur; les chrétiens nourris dans la parole, en occupant leurs pensées et y trouvant leur plaisir, doivent être en état de communiquer aux autres ce qu’ils ont appris dans la communion du Seigneur; mais cela suppose un cœur que les soucis de la vie et la préoccupation des choses de la terre n’absorbent point, car alors la parole est comme reléguée dans un coin obscur de l’âme. Paru le : 01/01/2006. (v. 21) — À ce qui concerne les enfants, correspond l’exhortation adressée aux pères. Il y a, en effet, des choses qui pourraient sembler indifférentes ou bonnes en elles-mêmes, mais dans lesquelles le chrétien ne pourrait entrer au nom du Seigneur Jésus. La dégradation de la femme, son rôle d’esclave chez tant de nations, est le fruit du péché. Tous droits réservés - Solution web. Toutes leurs responsabilités et leurs motifs d’action étaient ainsi transformés, et là aussi ils trouvaient leur encouragement et leur consolation. C’est cette sagesse, bien différente de celle du monde, car elle est «premièrement pure, ensuite paisible, modérée, traitable, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie», c’est cette sagesse qui vient d’en haut, qui règle et dirige la vie du chrétien. «Revêtez-vous donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, d’entrailles de miséricorde, de bonté, etc.». La place des enfants comme des parents dans la famille chrétienne n’est pas dans le monde, mais dans le Seigneur. En premier lieu, ces pauvres esclaves n’avaient droit, de la part du monde, à aucune récompense. Remarquons la manière dont le Seigneur est partout introduit là, comme Celui qui a l’autorité, et qui est la source de toute autorité. Il est nécessaire que, de bonne heure, la volonté soit brisée. Catégorie 1 : Commentaires » Les Épîtres de Paul. Il reste donc le nouvel homme. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Chacun, lorsqu’il y a l’activité de la vie divine en lui, peut enseigner son frère. L’amour n’est-il pas aussi au fond la source dont ils dérivent? Chaque livre biblique est un document unifié. C’est là qu’ils sont élevés dans la discipline et sous les enseignements du Seigneur. Collection : Les commentaires bibliques. Mais ici, c’est un motif pour la conscience: «Celui qui agit injustement, recevra ce qu’il aura fait injustement», c’est-à-dire recevra la peine de son injustice; il en subira les conséquences. C’est dans une vie nouvelle que l’on se trouve — celle de Christ ressuscité. On peut se demander quelle est la différence entre nos membres, en Rom. À plus forte raison le chrétien trouve-t-il Christ dans les évangiles et les autres écrits du Nouveau Testament. On n’est pas ressuscité pour rentrer dans la vie à laquelle on était mort. Le mari est le chef de la femme. Car c’est Dieu qui est là, agissant dans sa nature qu’il nous a communiquée, car «celui qui demeure dans l’amour, demeure en Dieu, et Dieu en lui». Ici, les chrétiens les uns à l’égard des autres ont à accomplir cette même tâche bénie. «Si Christ est reconnu, la famille est un précieux foyer de douces affections, où le cœur est élevé dans les liens que Dieu lui-même a formés, et qui, en nourrissant les affections, préservent des passions et de la volonté propre». Mais de même que Christ, notre vie est cachée. Colossiens 3. Il en est ainsi pour tous les chrétiens quant aux choses qui sont en haut. 1:29-31 avec 2 Tim. Et remarquons encore que cette position convient, est convenable. C’est essentiellement en vivant près de Dieu, près de Christ, dans sa communion, pour garder toujours le calme qui convient à l’exercice de votre devoir paternel. Celui-là nous n’avons pas à le supporter, mais à le reprendre. Voir tous les enseignements bibliques → ... Ephésiens Philippiens Colossiens. Et nous en jouissons, nous jouissons des objets célestes et divins de cette vie — Dieu et Christ. Non seulement celles qui plaisent, mais aussi celles qui sont pénibles, pour lesquelles on n’a point de goût. Le chrétien a à réaliser cette nouvelle vie dans sa marche, et pour cela suivre l’exhortation contenue dans les versets suivants: «Renoncez, etc.». Colossiens 1. S’ils pouvaient recouvrer leur liberté, ils devaient en profiter, sinon, ne pas se mettre en peine de leur basse condition, puisqu’elle était pour eux une occasion de servir le Seigneur (le Maître) Christ. Et alors nous qui maintenant sommes déjà ressuscités avec lui, nous qui l’avons pour notre vie, nous serons manifestés avec lui en gloire. Les enfants doivent être obéissants. 5 et 6). C’est parce qu’ils craignaient ce Maître invisible, qui sondait tous leurs actes et leurs pensées, qu’ils avaient à servir leurs maîtres, non seulement quand ils étaient présents — non seulement sous leurs yeux — mais toujours, en toutes circonstances avec un cœur simple, sans calcul, qui ne cherchait pas à plaire aux hommes pour en obtenir quelque avantage, mais s’efforçant de plaire au Seigneur. Soyez épanouis Colossiens - Commentaire biblique - Texte de Parole vivante inclus. Que servirait-il de la posséder, si on ne la portait pas? Que dans les entretiens, dans les assemblées, ce soit elle qui domine et règle tout. Le monde ne peut la connaître. 1 Morts et ressuscités avec Christ. 21:18-21; Prov. Il élève leurs pensées de leurs «maîtres selon la chair», à leur Seigneur ou Maître selon l’Esprit. N’oublions donc pas d’être reconnaissants; que ce sentiment ne s’éloigne pas de nos cœurs; il est un des traits qui doivent caractériser notre vie chrétienne. L’amour, l’amour vrai, sans faiblesse, mais tendre, tel qu’il convient à l’enfant chez lequel tout est à former, qui est une plante délicate qui a besoin de soins, et surtout de la chaleur du cœur chez ceux qui s’occupent de lui; voilà ce qui doit présider dans l’éducation chrétienne. Spirituellement, en Christ, il n’y a ni homme, ni femme; mais là seulement. C’est qu’il y a naturellement, dans le cœur des mères, une tendresse pour leurs enfants qui rendrait cette exhortation superflue à leur égard. Au verset 28 du chapitre premier, l’apôtre dit qu’il exhorte et enseigne tout homme en toute sagesse. 20 - 4. Nous sommes donc exhortés à ce que cette parole «demeure richement» en nous, afin que notre cœur possède tout ce qui dans les Écritures est l’expression de Christ. 13:24; 19:18; 22:15; 23:13, 14). L’ÉPÎTRE AUX COLOSSIENS PAR Alexandre VINET 1841} } } Soleil d’Orient — 2005 — Oh! L’amour, caractère de la vie de Dieu, est rappelé comme ayant à s’exercer dans cette relation particulière. Les deux premiers sont des actes; les trois suivants sont des sentiments intérieurs: d’abord, les affections déréglées qui se portent sur des objets illicites, ou qui, peut-être légitimes en elles-mêmes, se dérèglent et dégénèrent en passions auxquelles l’esprit n’a point de frein à opposer; secondement, la mauvaise convoitise, ou les mauvais désirs, les désirs du cœur charnel vers des choses coupables, et enfin la cupidité, mot qui, dans son acception générale, signifie le désir illicite de s’approprier ce qui est à autrui, désir qui conduit à employer de mauvais moyens pour y parvenir. En un mot, c’est ce que comprend le dixième commandement. Mais pour la foi, de même que devant Dieu, nous sommes morts, quant à cette vie-là, morts en vertu de ce que Christ est mort pour nous. Colossiens 3. Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. 2:11-15). Vient maintenant l’exhortation adressée aux enfants et aux pères (v. 20, 21). Mais quand la vie est ainsi réglée par le fait que Jésus en est l’objet et le but, lui, le Saint et le Véritable, quand on réalise que lui vit en nous, de sorte que tout se fait en vue de lui, alors aussi, dans la conscience de son approbation et la joie de sa présence, on rend «grâces par lui à Dieu le Père», parce que rien ne gêne notre relation avec ce Dieu, notre Père, à qui nous avons été amenés. Elles nous élèvent au niveau spirituel le plus élevé. (v. 14) — Il semble que la réalisation de toutes les qualités qui précèdent, constitue la perfection morale pour celui qui les posséderait. Oh! Colossiens 1. Dans son corps aussi, elle est exposée à bien des souffrances qui peuvent agir sur son humeur. «Pensez (ou mettez votre affection) aux choses qui sont en haut»; vous cherchez et trouvez; mais pour garder, il y faut penser. Ici, dans les Colossiens, nous ne trouvons pas ces préceptes, mais l’esprit dans lequel les pères ont, en les appliquant, à agir envers leurs enfants, un esprit de sagesse et d’amour, semblable à celui avec lequel Dieu, notre Père, nous traite aussi. “Il n’y a là ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre ; mais Christ est tout et en tous.” (Colossiens 3:11) Lecture : Col. 1.1 «Cela est agréable dans le Seigneur» non au Seigneur, bien que ce soit vrai. Nous avons à suivre ses traces et à marcher comme lui dans la vérité en toutes choses (1 Pierre 2:21-24; Matt. Ensuite, leur humble condition ne comportait pas qu’ils eussent aucun héritage terrestre. Au lieu de nous presser et de nous pousser par des commandements et des lois, il nous attire par le souvenir de la grâce de Dieu, afin d’obtenir les fruits de notre foi, et que nous portions ces fruits librement et joyeusement».
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